« Ce qu’il y a de plus
miraculeux, c’est que le genre humain fut converti par les moyens mêmes qui
devaient le plus le détourner de la foi au Sauveur, les humiliations et les
tourments, les catacombes et les échafauds. Le Christ avait dit : Quand je
serai élevé en croix, j’attirerai tout à moi (Jean, XII, 29). Sa prophétie
s’est vérifiée, mais elle s’est réalisée aussi dans la personne des martyrs.
Leur mort sur un autre Calvaire, a été la meilleure prédication. A côté de
chaque Etienne, on a vu un Saul devenir un saint Paul. De là le mot de
Tertullien: « Le sang des martyrs est une semence de chrétiens.» Concluons
de cette vérité que ce qui est le plus nuisible à l’Eglise, ce n’est pas la
haine des impies, mais l’indifférence de ses propres enfants. »
Célestin Dubois:
Histoire des origines
et de l’établissement
du christianisme en
Suisse,
Neuchâtel, 1859.
*
L’intérêt
pour les saints locaux est très ancien dans notre diocèse: dès la seconde
moitié du XXème siècle, l’Eglise Russe Hors Frontières, fut la première à
incorporer dans son sanctoral les saints orthodoxes occidentaux.
Dans
une assemblée de ses évêques en Europe Occidentale présidée par l’Archevêque
Jean (futur saint Jean de Changhaï et de San Francisco[1]),
et tenue le 3/16 et le 4/17
septembre 1952 à Genève, elle établit une liste des saints orthodoxes locaux
qui devaient être célébrés par l’Eglise. Parmi eux se trouvaient déjà des
saints de la terre d’Helvétie : saint Colomban, saint Gall, saint
Fridolin, et sainte Clotilde.[2]
Ensuite,
avec la bénédiction de Monseigneur Antony, archevêque de Genève et d’Europe
Occidentale, le prêtre de la paroisse Lausanne-Vevey poursuivit l’œuvre de
saint Jean…
Il
y a quelques années, dans la petite maison du prêtre sise près de l’église
Sainte-Barbara de Vevey, je revois le Père Pierre (Cantacuzène), futur évêque
Ambroise et la doctoresse Barbara Heinz de bienheureuse mémoire, penchés tous
deux sur de forts volumes reliés en cuir, dont ils traduisaient ensemble
certaines pages…
Ils
consultaient Les Vies des Saints Suisses,
dans de vénérables ouvrages anciens écrits en gothique allemand, et l’évêque
prenait des notes pour l’office qu’il composait alors à la gloire de tous les
saints illuminateurs de la Terre d’Helvétie[3].
Il avait également fait peindre, par le protodiacre Georges de la Cathédrale
russe de Genève, une icône de tous ces saints, pour la célébration de leur
fête.
Lorsque
cet office fut terminé et publié, Monseigneur Vitaly, Métropolite de l’Eglise Orthodoxe
Russe à l’Etranger, l’approuva, il fut ensuite célébré à Vevey, et les projets
de nommer l’évêque Ambroise en Amérique du Sud, furent abandonnés, au grand
soulagement de ses paroissiens.
Monseigneur
Ambroise, évêque successivement de Vevey (1993-2000), puis de Genève et
d’Europe Occidentale (2000-2006), eut peu de loisirs pour écrire la seconde
partie qui devait faire suite à l’office aux saints suisses, et qui devait être
un synaxaire[4]
comprenant une courte biographie de tous les héros spirituels orthodoxes de
l’Helvétie. Hélas ! La maladie de notre évêque, et son décès prématuré, ne
lui permirent pas de se consacrer à cette tâche, et aucun document relatif à
cette entreprise pieuse ne fut retrouvé dans ses papiers après sa naissance au
Ciel.
Ce
modeste travail (Je n’ai pas les connaissances encyclopédiques de feu notre
bienheureux hiérarque, ni sa grande connaissance à la fois de l’histoire et de
l’hagiographie suisses), reprend les bases sur lesquelles il a composé son
office, et fait réaliser l’icône des saints suisses.
Ce
travail n’aurait pas vu le jour si Monseigneur Michel, archevêque de Genève et
d’Europe Occidentale ne m’avait demandé de le faire, et ne m’avait encouragé
dans cette entreprise. En 2013, il vint célébrer en français[5]
l’office écrit par Monseigneur Ambroise à la paroisse de Vevey, et ensuite il
émit un oukase demandant à toutes ses paroisses en Suisse de le célébrer
dorénavant chaque année à la date prévue du troisième dimanche de septembre.[6]
Mes
recherches personnelles m’ont permis de trouver d’autres saints qui ne figuraient
pas dans l’office qu’écrivit Monseigneur Ambroise, ou bien sur l’icône, mais
aucun synaxaire n’est jamais vraiment complet, et certains fidèles trouveront certainement
des saints dont je n’ai pas parlé.
Le
choix des saints orthodoxes qui figurent dans ce recueil n’est pas arbitraire.
En principe, ne sont considérés comme orthodoxes pour nous, que les saints qui,
non seulement ont vécu avant le schisme occidental de 1054, par lequel l’Eglise
Catholique Romaine s’est séparée de l’Eglise Orthodoxe, mais qui confessent également
la foi orthodoxe et n’adhèrent à aucune doctrine étrangère à la foi des Pères
(le filioque par exemple) dont saint
Vincent de Lérins donna une définition parfaite dans son Commonitorium [circa 428 A.D.] : (« Quod ubique, quod semper,
quod ab omnibus creditum est») « [Tenir pour vérité de foi], ce
qui a été cru partout, toujours et par tous.»
Nous
avons suivi, la plupart du temps, les « limites de prudence pour les
datations d’Orthodoxie » résumées par Claude Laporte dans son excellent
ouvrage Tous les saints de l’Orthodoxie[7].
Pour la
date de commémoration, selon la tradition orthodoxe, nous avons privilégié le
natalice (dies natalis, jour de
naissance au Ciel) partout où cela était possible. Certaines vies sont très
courtes par manque de document, et aussi parce que, avec le temps beaucoup de
ces vies ont disparu, elles se réduisent parfois à un prénom et à une date de
fête. D’autres sont plus longues, et contiennent plus de détails édifiants pour
les fidèles. Mais cela ne change rien à l’intercession spirituelle et à l’aide précieuse
qu’apportent les saints. Deux anecdotes, l’une venant du Mont Athos, l’autre de la région suisse de Zoug,
peuvent le faire comprendre.
Un
moine eut un jour l’apparition d’un saint thaumaturge qui était très vénéré
dans son monastère. Le saint lui dit : « Depuis des siècles vous me
vénérez sous le nom de N…, ce n’est pas mon nom, mais vous pouvez continuer à
m’appeler ainsi. » Et il disparut sans pour autant décliner son identité
véritable, et son intercession miraculeuse continua.
A Cham
(Canton de Zoug), depuis le Xe siècle, dans l’église Saint-Jacques, on vénère
un saint dont on ignore le nom et la vie. On sait simplement que c’est au
retour d’un pèlerinage aux tombeaux des apôtres à Rome qu’il s’arrêta à Cham et
y mourut. Certains disent qu’il venait d’Ecosse, d’autres de ce qui est
aujourd’hui la Hollande.
Les
saints changent de nom aussi, non pas seulement selon les langues utilisées,
mais aussi selon les hagiographes (ainsi Théodule de Martigny, selon certaines
sources, devrait être plutôt Théodore, tradition que nous avons suivie pour ce
prénom). Certains saints, sont « théognostes », c’est-à-dire connus
de Dieu seul (comme l’évêque de Cham cité plus haut !). Quoi qu’il en
soit, tous ceux que les siècles ont glorifiés comme saints, nous accompagnent
conjointement avec les élus connus de Dieu seul. Et nous qui sommes dans
l’Eglise Orthodoxe, nous retrouvons nos racines spirituelles en retrouvant nos
saints locaux.
Le
saint archevêque Jean de Changhaï, a le premier dressé des listes de saints
orthodoxes occidentaux inconnus de l’Eglise Russe, dont il a recommandé la
vénération. Saint Arsène de Paros (✝1877) a déclaré un jour: « L’Eglise des Îles Britanniques grandira
seulement si elle commence à vénérer ses propres saints. » Ces saints
orthodoxes occidentaux sont nos racines du Ciel, et ils fondent notre
orthodoxie avec les saints orthodoxes orientaux des églises qui nous ont
redonné la foi des Pères, cette foi orthodoxe que professaient jusques au
schisme nos ancêtres spirituels d’Occident. Et c’est indubitablement par leurs
prières, que nous avons retrouvé cette Orthodoxie qu’ils professaient eux-mêmes.
Le christianisme s’est installé progressivement en Helvétie. Comme le dit
Célestin Dubois dans son livre Histoire
des origines et de l’établissement du christianisme en Suisse, publié à Neuchâtel en 1859 : Notre patrie n’est pas bien étendue, et
cependant il a fallu six siècles pour que la Divine semence parvint à y prendre
pied d’une manière générale et à la couvrir de ces champs riches en espérances
qui réjouissent le céleste moissonneur. Les premières lueurs de l’Evangile ont
brillé en deçà des Alpes, dans le second siècle de notre ère, peut-être déjà
auparavant ; les derniers missionnaires qui aient travaillé parmi nous
sont morts vers la fin du septième siècle ou au commencement du huitième.[8]
Il
y a en Helvétie deux sortes d’invasions : celle des peuples étrangers qui,
avec leurs armées, s’emparent de territoires par la violence, s’y établissent
et souvent se fondent dans la population, mêlant leurs croyances à celles
païennes ou idolâtres des Helvétiens ; il y a les
« invasions missionnaires» plus pacifiques et plus fécondes spirituellement, qui
viennent depuis la Gaule franque, de l’Irlande, et des Îles Britanniques en
général. Il y a aussi les passages sur le territoire d’Helvétie des pèlerins en
partance pour Rome, ou bien de retour de cette cité, où ils vont pérégriner sur
les tombeaux des saints Apôtres, tout en évangélisant en chemin.
Il
y a donc une Helvétie païenne avant la conquête de César, une autre sous
domination romaine de 57 à 430, qui par endroits se christianise, une troisième
de 430 à 550 connaît la domination des Allémanes, des Burgondes et des
Ostrogoths, avec l’arianisme qui souille parfois la foi orthodoxe par son
hérésie. La dernière période qui voit la domination des Francs, couvre un temps
qui va de l’an 550 jusques au VIIIe siècle.
« Ainsi
en 550, après plusieurs siècles de vicissitudes et de changements politiques,
toute l’Helvétie se trouva réunie sous un seul sceptre, comme elle l’avait été
sous la domination romaine ; ses nouveaux maîtres la divisèrent en deux
parties ; ils rattachèrent à la Souabe les contrées occupées par les
Allémanes et en général celles où l’on parlait la langue allemande,
c’est-à-dire la Rhétie et le pays renfermé entre le Lac de Constance, le Rhin,
l’Aar et le Saint Gothard.
Les
autres parties prises sur les Bourgondes (sic !) et dans lesquelles on
parlait essentiellement le roman (sic !), Genève, Vaud, le Valais,
Neuchâtel, et des portions des cantons actuels de Berne, de Soleure et de
Fribourg, furent réunies à la Savoie et appelées la petite Bourgogne, ou
Bourgogne transjurane, dont Orbe devint le chef-lieu. La partie allemande fut
soumise au duc de Souabe ou d’Allémanie; le reste du pays au duc ou patrice
(vice-roi) de la petite Bourgogne.[9]»
Quelles
étaient les croyances des peuples de Suisse, lorsque les Romains s’installent
en Helvétie ? Les Helvétiens adorent alors, près de ce qui est
actuellement la France, et proximité oblige, les mêmes dieux païens que les
Gaulois, le dieu Theutatès [Toutatis ?], équivalent de Mercure, qui
préside aux occupations favorites de ce peuple. Bélénus, autre dieu,
était la personnification du soleil (la silva
Belini, devenue Sauvabelin près de Lausanne, témoigne de ce culte). Hoesus,
était l’équivalent de Mars, dieu de la guerre. Taranus ou Taran était leur dieu
du tonnerre, équivalent du Jupiter romain. Le dieu Penninus, dieu des hauteurs,
s’imposait avec la paysage majestueux des Alpes. Enfin Belisane, mère de
Bélénus était la déesse des eaux, des arts, des sources thermales. Il y avait
encore une foule de dieux et déesses qui étaient liés aux diverses activités
des hommes ou forces de la nature. Les sacrifices humains n’étaient pas rares,
qui devaient attirer la faveur de ces dieux !
Les
Allémanes, ayant envahi le territoire helvétique au IIe siècle, vénéraient le
dieu des dieux Odin ou Wotan, qu’ils nommaient aussi Allvatir (Père de tout).
Ils vénéraient également son épouse Hulda, protectrice des maisons, et ses fils
Donar et Ziu présidant à la tempête et à la guerre, ainsi qu’Hertha déesse de
la terre. Ils immolaient eux aussi des victimes aux images de métal de ces
dieux.
Les
envahisseurs Burgondes, venus d’un territoire entre Vistule et Oder, avaient
reçu quelque enseignement chrétien sommaire, hélas hérétique, puisqu’ils furent
parmi les séides de l’arianisme. Saint Sigismond, un de leurs rois, avec la
plus grande partie de son peuple, abjura l’arianisme pour l’Orthodoxie en 516,
au Concile de Saint-Maurice d’Agaune; il fut à l’origine de la louange
perpétuelle (laus perrennis), imitée de Byzance, à l’abbaye de Saint-Maurice
d’Agaune.
A
la fin du premier siècle, ou au commencement du IIe siècle selon toute
vraisemblance, les premiers chrétiens apparurent en Helvétie, issus de Romains
(soldats) ou d’Helvétiens romanisés. Le mouvement d’évangélisation venait également
de Vienne (ville importante du pays des Allobroges dont faisaient également
partie Genève et Lyon). Le martyre des saints Pothin et Irénée, constitue l’apport grec à cette
évangélisation. Saints Paracode et Denis, évêques de Vienne, œuvrèrent aussi à
cette évangélisation. Ceci explique pourquoi, par un raccourci abusif, il a été
quelquefois mentionné que Paracode était le premier évêque de Genève! Plus
tard, l’apport du monachisme celtique, avec saint Colomban, saint Gall et tant
de leurs disciples fut également déterminant pour l’expansion du christianisme
en Suisse et pour son implantation durable sur le territoire helvète.
Nous
avons choisi, pour des raisons pratiques, de présenter les vies des saints
orthodoxes de la terre d’Helvétie comme dans un synaxaire, c’est-à-dire par
mois, en commençant par celui de Janvier. La date de commémoration des saints
est double, la première est celle du calendrier des Pères (en usage dans la
majorité des Eglises orthodoxes), la seconde est celle du calendrier civil qui
est en avance de 13 jours à présent sur le premier calendrier.[10]
Les
saints orthodoxes locaux, de quelque période que ce soit, sont toujours parmi
nous, et se manifestent à nous quelquefois de manière extraordinaire. Avant
d’avoir une icône peinte de Tous les
Saints de la Terre d’Helvétie, la paroisse de Vevey avait, sculptée par un
paroissien de l’église Sainte-Barbara, une icône sur bois les représentant. A
la base de cette icône, se trouvait, dans un petit reliquaire, une minuscule
relique des martyrs d’Agaune. Lorsque l’icône peinte fut achevée, cette icône
«voyagea» quelques temps de fidèles en fidèles, jusques au jour où il fut
remarqué qu’elle plaisait beaucoup à l’higoumène d’un monastère grec d’Andros,
ami de notre Eglise Russe, qui vénérait les saints orthodoxes occidentaux. Elle
lui fut donnée lors d’un voyage en Grèce.
Des paroissiens en visite l’année
suivante sur l’île d’Andros, remarquèrent quelques traces lumineuses sur
l’icône. S’approchant, ils constatèrent que ces traces provenaient de gouttes
d’un myrrhon très fragrant, venant de l’endroit où sur l’icône étaient
représentés saint Béat, saint Maurice et les martyrs d’Agaune, saint Sigismond
et sainte Clotilde ! Interrogeant l’higoumène du monastère, il répondit
que de temps en temps, cette huile fragrante coulait jusques à terre!
Dieu est
admirable dans ses Saints[11] !
Saints de la terre d’Helvétie, priez
Dieu pour nous !
Claude Lopez-Ginisty
(Icône des saints suisses de Dominique Aymonier-Lopez
reproduite par Sofrino/ Moscou)
Saint-Triphon le 13/26 mai 2014 A.D.
Fête des saints Alexandre
de Rome, Glycérie et Laodicée, Alexandre de Rome, Servais de Maastricht,
Dominique de Côme, Maël le Gallois, Flaive de Châlons-sur-Saône, Dridan de
Bretagne, Natalis de Milan, Rolande de Villiers-la Poterie, Jean fondateur du
Monastère d’Iviron sur la Sainte Montagne de l’Athos, Euthyme son fils et de
Georges higoumène du monastère d’Iviron, Onésime évêque de Soissons,
Christiantien martyr d’Ascoli, Rastagène martyre en Picardie, Agnès et Dioscole
de Poitiers, Gwenganton de Vannes, Nicéphore d’Aphasis, Pausicas de Synnades,
Anno de Vérone, Serge confesseur des Saintes Icônes, Gabriel d’Iviron qui alla
chercher sur la mer l’icône de la Portaïtissa, Euphrosyne d’Iviron, Glycérie de
Novgorod, moines d’Iviron martyrisés par les Latins (XIIIème siècle), Basile,
Christophore et Alexandre martyrs des communistes et tous les autres saintes et saints de l’Eglise
connus ou inconnus…
[1] Voir la
biographie de notre ami Bernard Le Caro, Saint Jean de Changhaï, aux éditions L’AGE D’HOMME, 2011.
[2] Source: Parmi les saints oubliés : VOIE ORTHODOXE (Lyon)
[3] Il sera bientôt sur ce blog
[4] Recueil de
vies des saints
[5] En Russie,
cet office a été traduit en slavon
[6]
Cette date coïncide avec la fête suisse dite du « Jeûne
fédéral » instituée en 1832 par les autorités helvétiques comme
« jour d’action de grâces, de pénitence et
de prière pour toute la Confédération ».
[7]
Claude Laporte, Tous les Saints de
l’Orthodoxie, Editions Xénia, Vevey, 2008. Nous reprenons également à notre
compte, les paroles de Père Macaire, moine de Simonos Petra citées par Claude
Laporte : « […] Nous préférons donc choisir les saints
occidentaux les plus anciens, car ils sont représentatifs de l’Eglise indivise,
et leur sainteté comme leur enseignement ne peuvent être mis en doute. Mais
cela ne préjuge pas bien sûr de la sainteté des saints occidentaux qui ont vécu
entre la fin du VIIIe et le XIe siècle. »
[8] Célestin Dubois: Histoire des origines et de l’établissement du christianisme en Suisse, Neuchâtel 1859.
[9] idem pp.
11-12
[10] Les orthodoxes
suivant le calendrier grégorien (calendrier civil) tiendront donc compte de la
la première date pour la fête des saints. Les orthodoxes célébrant suivant le
calendrier julien, tiendront compte de la seconde date indiquée pour la fête du
saint.
[11] Psaume
67 : 36 (Version du Psautier des Septante de l'Archimandrie Placide [Deseille]
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